SELHI Mohamed ben Hadj Amokrane
Photo : Mohamed SELHI (à gauche) avec Ali Boumendjel.
Ingénieur des Mines (Shell). Enlevé le 22 février 1957 à Oran et remis aux parachutistes stationnés au 19e Génie à Hussein Dey. (SLNA).
Signalé à la commission de Sauvegarde par le procureur Jean Reliquet ; lettre de son père ;réponse de l’armée (colonel Godard) : a été remis en « liberté conditionnelle » le 5 avril 1957″. (CS)
A définitivement disparu (entretien avec l’historienne Malika Rahal, 13/09/2018).
Témoignage de Nadji Abbas Turki selon lequel Mohamed Selhi, son co-détenu, a été tué, après avoir été longuement torturé, par les parachutistes exerçant à la Ferme Perrin, près de Birkadem, en mars 1957, dans Hafid Keramane, La pacification, livre noir de six années de guerre en Algérie, Lausanne, La Cité, 1960, p. 66.
Voir aussi ce texte, sur le centre de torture où il a très vraisemblablement disparu