FOUDIL Rachid
48 ans. « Tombé du 2eme étage » d’un local de gendarmerie, après avoir « échappé à la garde des gendarmes » le « 10 ou 11 mars 1957 ». Donné comme arrêté par le 3e RPC et « suicidé le 8 mars 1957 », dans un fichier de l’armée remis à la préfecture en avril (91 1K 1039).
Lettre de son père sollicitant un certificat de décès et montrant au passage qu’il ne croit pas à cette version de la mort de son fils ; réponse de l’Ambassade de France en Algérie en 1963 déclarant ne pas trouver trace de cette affaire. (SHD, GR 1 H 2698)