OURAK Ali
Extrait de la prison civile d’Alger en mars 1957 pour être remis aux parachutistes du 2e RPC « pour la journée ». Ces derniers demandent et obtiennent une prolongation pour la nuit. Le lendemain, on apprend qu’Ali Ourak est mort la veille à 17 heures, lors d’une « tentative d’évasion ».
Cas décrit par Raphaëlle Branche, La torture et l’armée pendant la guerre d’Algérie, Paris, 2016 (rééd.) p. 197-198 .
