Victime de disparition forcée. Il n’a pas survécu à la disparition forcée.
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Dans leurs recherches, ses proches se sont adressés à la préfecture d’Alger. Une fiche du Service des liaisons nord-africaines indique qu’il est né le 26 octobre 1926 à Alger, qu’il est menuisier, qu’il vit 74 avenue Malakoff, et qu’il a été enlevé en août 1957.
La disparition a également été signalée, à la demande du frère de Mokhtar Bouali, par son neveu qui a écrit aux historiens Malika Rahal et Fabrice Riceputi. Dans son message du 23 avril 2020, il écrit : « Mon oncle a été arrêté en 1957 à Alger par l’armée française, depuis pas de nouvelles. Nous cherchons des informations ». Il fournit également une coupure de presse datant de 1986 comportant la photographie du disparu. Selon l’article publié alors, Mokhtar Bouali a été enlevé dans la nuit du 17 au 18 août près de Zoudj Ayoun, dans la Casbah. Il évoque également son rôle de militant du FLN, responsable de plusieurs opérations de fidaï (combattant des villes). Un article d’el Watan de 2005 mentionne que c’est un proche Mohamed Oudelha dit « Ali Z’yeux bleus« .
Sources concernant Mokhtar Ben Mohamed BOUALI :
– Fiche de renseignement du Service des liaisons nord-africaines (SLNA), Archives Nationales d’Outre-Mer (ANOM / Aix-en-Provence, France)
– Échanges de mails avec le neveu de Mokhtar Boualem, M. Mehdi Bakiri, le 23 avril 2020.
– Coupure de presse datant de 1986, journal inconnue, fournie par M. Mehdi Bakiri.
– Article d’el Watan [Consulté le 23 avril 2020] aujourd’hui inacessible mais que l’on peut encore lire sur la page Facebook suivante: https://www.facebook.com/groups/136927823164630/permalink/838958199628252/ [consulté le 24 juillet 2025]
