N’a pas survécu à la disparition forcée.
Si vous avez une photo, des informations, des documents concernant Mahmoud ZERIBI, merci de nous écrire en commentaire ou à l’adresse mail 1000autres@laposte.net.
Dans leurs recherches, ses proches se sont adressés à la préfecture d’Alger. Une fiche du Service des liaisons nord-africaines indique qu’il a 52 ans, qu’il est mandataire aux Halles, qu’il vit rue Darwin (Belcourt, Alger), et qu’il a été enlevé le 18 février 1957 à 17 heures sur son lieu de travail par les parachutistes. Le Service des liaisons nord-africaines n’avait toujours pas eu de réponse à sa requête de la part de l’armée en octobre 1957. Une lettre de son épouse en janvier 1958 au général Salan indique que son épouse a 7 enfants.
Dans une communication personnelle avec les historiens Fabrice Riceputi et Malika Rahal le 7 février 2024, sa famille leur confirme sa disparition définitive, leur communique sa photo et le message suivant : « Zeribi Mahmoud enlevé par les parachutistes en 1957 torturé au chalumeau,il n a plus réapparu depuis son enlèvement. »
Sources concernant ZERIBI Mahmoud :
– Fiche de renseignement du Service des liaisons nord-africaines (SLNA), Archives Nationales d’Outre-Mer (ANOM / Aix-en-Provence, France).
– Les Disparus. Le cahier vert, Zavrian Michel, Vergès Jacques et Courrégé Maurice, Paris, La Cité, 1959.
– Lettre de son épouse en janvier 1958 au général Salan (avec erreur de date d’arrestation). Archives du cabinet du préfet d’Alger, ANOM.
– Portrait de Mahmoud Zeribi, archives personnelles de sa famille, sans date.
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Source : Portrait de Mahmoud Zeribi, archives personnelles de la famille Zeribi, sans date.
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Source : Fiche de renseignement du Service des liaisons nord-africaines (SLNA), Archives Nationales d’Outre-Mer (ANOM / Aix-en-Provence, France).
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Source : Lettre de son épouse en janvier 1958 au général Salan (avec erreur de date d’arrestation). Archives du cabinet du préfet d’Alger, ANOM.
Pourrions-nous avoir cette lettre et plus d’explication sur la mort de notre grand père allah yerahmo nous sommes ses petits enfants.
bonjour, je vous ai répondu dans un e-mail