NOURINE Amar
Né en 1933. Boucher. 3 enfants. Enlevé le 11 mai 1957 par les bérets rouges. Interné 8 jours à Leveilly, puis 46 jours à El Biar. Toujours recherché en août 1959. (CV)
Abréviations des principales sources utilisées :/p>
SLNA : « Fiches de renseignement » du Service des Liaisons Nord-Africaines : « Personnes arrêtées, demandes de recherche transmises au commandement militaire », ANOM, 91/ 4 I 62.
Liste SLNA : mention sur une liste de rappels adressée à l’armée par le SLNA en octobre 1957, la fiche de renseignement correspondant n’étant pas archivée). ANOM, 91/ 4 I 62
CV : Jacques Vergès, Michel Zavrian, Maurice Courrégé, Les disparus, le cahier vert, Lausanne, La Cité, 1959.
Archives Teitgen : Archives confiées par Paul Teitgen à Georgette Elgey, Archives Nationales, 561AP/41.
SHD : divers fonds du Service Historique des Armées, GR 1 H
CS : archives des deux commissions de Sauvegarde des droits et libertés individuels (1957-1962), Archives Nationales, F/60/3124-F/60/3231.
Presse algérienne (1962-1963) : documents fournis par Malika Rahal.
Bnjr. Je suis un des neveux de Nourine Amar Né en 1933. Boucher. 3 enfants. Enlevé le 11 mai 1957 par les bérets rouges. Interné 8 jours à Leveilly, puis 46 jours à El Biar. Toujours recherché en août 1959.
Je vous en supplie au nom des siens .Si vous pouvez nous en procurer une photo de lui .parce que malheureusement aucun membre de sa famille et ses proches n’en a même sa femme qui est encore en vie ou ses enfants .on raconte que lorsqu’il était recherché toute personne qui était en possession de sa photo était embarqué automatiquement alors toute la famille,amis et connaissances déchiré ses photos .alors de grâce si vous pouvez nous en procuré une de ses photos(identité par exemple dans archives était civil) .
Bonjour, merci pour votre message. Malheureusement, nous n’avons pour l’heure pas trouvé de trace d’Amar Nourine dans les archives françaises, dans lesquelles on trouve d’ailleurs très rarement de photos des personnes arrêtées par l’armée. Il est seulement présent dans le livre Les Disparus, le Cahier Vert de 1959. Il n’y a pas d’état civil des Algériens dans les archives françaises. Si vous avez dans la famille des précisions sur lui (adresse, profession, activité militante, ec.), n’hésitez pas à nous les communiquer, nous pourrons rédiger une notice plus complète.
Merci pour vos messages. Autre hypothèse, une erreur de l’armée dans l’identité de celui qu’elle déclare « abattu ».