AIBOUB Ahmed
Employé à l’Etat Civil d’Alger. Enlevé le 25 mai 1957 par la « Sûreté ». (SLNA) Pas de réponse de l’armée en octobre.
Torturé et libéré au bout de 10 jours, selon son neveu. Voir la notice de AIBOUD Abderrahmane.
Abréviations des principales sources utilisées :/p>
SLNA : « Fiches de renseignement » du Service des Liaisons Nord-Africaines : « Personnes arrêtées, demandes de recherche transmises au commandement militaire », ANOM, 91/ 4 I 62.
Liste SLNA : mention sur une liste de rappels adressée à l’armée par le SLNA en octobre 1957, la fiche de renseignement correspondant n’étant pas archivée). ANOM, 91/ 4 I 62
CV : Jacques Vergès, Michel Zavrian, Maurice Courrégé, Les disparus, le cahier vert, Lausanne, La Cité, 1959.
Archives Teitgen : Archives confiées par Paul Teitgen à Georgette Elgey, Archives Nationales, 561AP/41.
SHD : divers fonds du Service Historique des Armées, GR 1 H
CS : archives des deux commissions de Sauvegarde des droits et libertés individuels (1957-1962), Archives Nationales, F/60/3124-F/60/3231.
Presse algérienne (1962-1963) : documents fournis par Malika Rahal.
je suis le fils de AIBOUD ABDELRAHMANE, AIBOUD MUSTAPHA Je viens apporter un rectification à ce rapport par mon frère cadet Aiboud Omar, en affimant que Aiboud Ahmed n’etait pas le frere de Aiboud Abdelrahmane, c’etait son oncle paternel.