ALLAGUE ou LAALEG Rabah ben Omar
21 ans. Maçon. Cité Beaucheraye. Enlevé le 2 mars 1957 par les parachutistes. Pas de réponse de l’armée en octobre.(SLNA). Identifié le 17/11/2020 par un membre de sa famille comme disparu depuis son enlèvement.
« Je tiens à vous apporter les précisions suivantes en ce qui concerne ce martyrs qui
est notre cousin arrêté par les parachutistes et qui sous le coup de la torture a dénoncé mon
frère Hamdani Mohamed qui fut recherché puis arrêté après avoir été blessé en notre domicile situé au 1 rue de la Bombe à Alger. Après ce périple , aucun des 2 martyrs n’ont jamais donné signe de vie.
Pour précision sur le nom, il s’appelait Laaleg ».
Abréviations des principales sources utilisées :/p>
SLNA : « Fiches de renseignement » du Service des Liaisons Nord-Africaines : « Personnes arrêtées, demandes de recherche transmises au commandement militaire », ANOM, 91/ 4 I 62.
Liste SLNA : mention sur une liste de rappels adressée à l’armée par le SLNA en octobre 1957, la fiche de renseignement correspondant n’étant pas archivée). ANOM, 91/ 4 I 62
CV : Jacques Vergès, Michel Zavrian, Maurice Courrégé, Les disparus, le cahier vert, Lausanne, La Cité, 1959.
Archives Teitgen : Archives confiées par Paul Teitgen à Georgette Elgey, Archives Nationales, 561AP/41.
SHD : divers fonds du Service Historique des Armées, GR 1 H
CS : archives des deux commissions de Sauvegarde des droits et libertés individuels (1957-1962), Archives Nationales, F/60/3124-F/60/3231.
Presse algérienne (1962-1963) : documents fournis par Malika Rahal.
bonjour,
Je tiens à vous apporter les précisions suivantes en ce qui concerne ce martyrs qui
est notre cousin arrêté par les parachutistes et qui sous le coup de la torture a dénoncé mon
frère Hamdani Mohamed qui fut recherché puis arrêté après avoir été blessé en notre domicile situé au 1 rue de la Bombe à Alger. Après ce périple , aucun des 2 martyrs n’ont jamais donné signe de vie.
Pour précision sur le nom, il s’appelait Laaleg
Merci pour votre contribution à vouloir rétablir une réalité bien que douloureuse